Bordeaux rejoint le club Invest in French metropolises

[h3]Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Toulouse ont acté ce 18 juin la création d’« Invest in French Metropolises », un cercle d’influence et de collaboration avec pour objectif la reconnaissance des métropoles comme acteurs majeurs de l’attractivité et de la compétitivité nationale.[/h3]
Dans une conjoncture internationale plutôt défavorable, les métropoles affichent des indicateurs d’attractivité  à la hausse ; En 2012, les implantations internationales en France (471) ont diminué de 13% (-20% pour les emplois. Dans le même temps, toutes les métropoles françaises, avec plus de 300 nouvelles implantations, dont 200 internationales, sont de plus en plus prisées par les investisseurs.
« En effet, outre l’Ile-de-France, Lyon, Bordeaux, Lille ou encore Toulouse figurent également en haut du classement et présentent des résultats d’attractivité en hausse, alors que l’attractivité du site France s’altère globalement. » analyse Jean-Pierre Letartre, Président d’Ernst&Young France.
Concrètement, le cercle « Invest in French Metropolises » a pour objectif de développer la collaboration entre ces structures à la fois pour peser dans les politiques et organisations chargées de renforcer l’attractivité nationale et pour optimiser l’accueil des projets internationaux : « Si nous sommes parfois en concurrence sur des dossiers d’implantation », explique Robert Ghilardi de Benedetti, Directeur Général de Bordeaux Invest, « nous sommes aussi pragmatiques et nous essayons d’éviter la compétition quand l’une des métropoles en lice s’impose plus naturellement du fait de sa spécialisation territoriale ».
Ce club est aussi et avant tout, un outil indépendant de promotion collective visant à renforcer l’influence des métropoles françaises au niveau international. « La métropole bordelaise, 3ème métropole française pour le taux de création d’entreprises, affiche depuis plusieurs années un dynamisme et une attractivité renforcés dont témoignent les différents classements nationaux et internationaux des métropoles où il faut investir, où il fait bon travailler etc…, » poursuit Robert Ghilardi de Benedetti, « En 2012, les résultats en termes d’implantation d’investissements ont même connu une amélioration par rapport à ceux de 2011  ! »

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